mercredi 6 juillet 2011

DES INONDATIONS HISTORIQUES AU QUÉBEC...

Source: blogue Agent sans secret (France) 25 mai 2011

Ce message contient des textes sobres et de belles photos et de beaux clips qui feront la petite histoire.

Ce qui suit n'est qu'un commentaire, une montée laiteuse.

Nous n'avions déposé aucun message sur les récentes inondations en Montérégie. Le triangle noir de janvier 1998 est devenu le triangle kaki de mai 2011. Rien ne vaut un regard distancié! Nos lecteurs vont accéder ainsi à vote blogue, Monsieur Sans-Secret.Bonnes photos! Merci!
ceberger@bell.net


En rétrospective, vu que nous avions déposé aucun message sur ces inondations qui ont marqué le printemps québécois cette année et rappelé la vanité humaine de se construire en zone inondable. La nature, tout comme Dieu dont elle est le langage, impose du moins le respect, au mieux l'humilité ou bien la contrition et le ferme propos de ne plus s'y reprendre. Chassez le naturel de vos calculs, il revient au galop des flots qui se fracassent sur nos futilités en emportant nos bébelles, nos châteaux en Venise et nos embarcations et bâtisses de plaisance.

Une amie dont je tairai le nom est une chercheure émérite d'Environnemnt Canada, une de ces scientifiques d'intérêt public, non liés aux intérêts des corporations privées et dont la tête roulera bientôt sous le couperet de la grande noirceur ultraconservatrice de la théocratie sociale canadienne Ces scientifiques honnêtes dérangent car ils ne plaisent pas aux faiseurs d'image. Qu'ont -ils à s'émouvoir davantage des carpes allemandes échouées dans les champs de maïs que des Bar-B-Cue en inox qui partent à la dérive? On peut humainement ressentir de la compassion pour ces proporiétaires épuisés, déposssédés, oui, compassion sans apitoiement enchaînés dans nos possessions matérielles que nous sommes tous.

Elle m'a confié cette Docteure écologue: "Que tout le monde le sait; que les risques sont là, que les cartes d'isobarres sont tracées et bien claires sur les zones d'occurence de 20, 50 et 100 ans, bie rangées à Llordre dans les rayons des officines municipales et des Minisntères. Haro! à commencer aux élus municipaux qui salivent de coutume devant les taxes à percevoir des résidences construites où on ne devrait jamais en continuant aux ces inspecteurs municipaux qui émettent des permis à l'envi et à ces ingénieurs-conseil de complaisance, ces entrepreneurs en bâtiments qui savent qu'on va s,endetter pour s'y remettre.

On se la vend et se la revend à qui mieux mieux dans un marché hypothécaire débridé, en spéculant sur la plus-value, cette résidence secondaire qui devient permanente de temps en temps. On se croit à l'abri des probabilités. déflationnistes de notre balounne. On joue au casino dans cette économie de roulette russe hyperconsumériste. Tout le monde le sait, personne en parle. Tout passe, tout lasse tout casse. Et on implore l'armée de venir sécuriser nos folies, nos poules de luxe et nos méga nids de poule! L'Eau se fout du luxe.

La nature se fout du superflu, elle l'inonde et le transcende bien des fois, et de plus en plus drue, en cette anthropocène qui pourrait bien engloutir notre espèce dans une autre couche bien mince de sédiments à l'aune de l'Évolution en conscience et de meilleuire intendance de la Création.

La Vie est la plus puissante machine géophysique qui soit, a dit un jour un vieux savant dont j'aimerais bien me souvenir. Son mon se trouve sur le site de la Soil Carbon Coalition... Et on nous fera miroiter des théories de Géoingeneering, après avoir soit-disant décrypté le génôme. La géobionique recombinante On ne s'en met en pleine poire de ce qu'on mérite et quand nous nous en mordrons les pouces, sera-t-il trop tard? Miséricorde!

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